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Decouvrez leur histoire

Lors de leur réunion annuelle, qui s’est tenue à Paris les 18 et 19 novembre 2011, les médecins du Comité Médical International de Lourdes (C.M.I.L.) ont rendu leurs conclusions sur certains cas de guérisons qui leur étaient présentés par le docteur Alessandro de Franciscis, responsable du Bureau des constatations médicales des Sanctuaires de Lourdes. Au cours de leur rencontre, ils ont voté à une majorité des deux tiers en faveur du caractère inexpliqué de deux de ces guérisons, “dans l’état actuel des connaissances scientifiques”. Ce vote clôt les analyses et recherches médicales concernant ces deux personnes, dont les dossiers vous sont synthétiquement présentés ci-dessous.

À la suite de cette décision, il revient à l’évêque de Tarbes et Lourdes de transmettre les deux dossiers aux évêques des diocèses des deux personnes guéries. Ils ont désormais la responsabilité de l’interprétation religieuse que l’Église donnera de ces guérisons..

 

La guérison de Mme C. née le 16 janvier 1946

Date de la guérison : le 4 mai 1989 – Déclaration de la guérison : août 1989
Mme C. a mené jusqu’à l’âge de 35 ans (1981) une vie plus ou moins normale, quand elle a commencé à manifester des crises hypertensives spontanées graves. Elle a effectué quelques examens de laboratoire et de radiologie suspectant un phéochromocytome. Les résultats se sont révélés tous négatifs. En 1982, les examens radiologiques et les échographies mettent en évidence une masse para-utérine droite et un utérus fibromateux. La patiente a subi une hystérectomie et une annexectomie droite. En novembre 1982, pancréatectomie partielle. Nouveau scanner en 1983. On a ensuite réalisé une scintigraphie avec méta-I-131 benzilguanidine dans l’espace vésico rectal, la vessie et le vagin.
Plusieurs interventions chirurgicales ont été réalisées dans l’espoir d’éliminer les points provoquant les crises jusqu’en 1988. Pas de résultats cliniques. Le seul traitement contre les crises de tension artérielle (>22/12) est le régitin (nom générique : fentolamine) qui est un antagoniste alpha-adrénergique non sélectif.
En mai 1989, durant un pèlerinage à Lourdes, Mme C. ressent un extraordinaire bien être . Elle vient déclarer au Bureau des constatations médicales du sanctuaire de Lourdes avoir été guérie le 4 mai 1989 de «hypertension arterielle avec de graves et récurrentes crises hypertensives (néoplasie endocrine  produisant catécholamines ou hypertension d’autre nature».  Depuis ce moment Mme C. a pu reprendre une vie normale.
Première réunion du Bureau des constatations médicales le 12 octobre 1989 (décision d’ouvrir un dossier).
Autres réunions du Bureau des constatations médicales :  le 13 avril 1992 (on décide d’obtenir un complément d’information afin d’approfondir le dossier); le 12 octobre 1994 et le 4 août 1997.
Cinquième réunion du Bureau des constatations médicales, le 29 septembre 2010. Le  Bureau a confirmé la guérison par un vote formel et unanime : «Mme C. est guérie, du syndrome dont elle souffrait depuis son pèlerinage à Lourdes il a vingt-et-un ans,  en  1989,  et sans améliorations liées aux interventions et aux traitements».
Le CMIL (Comité Médical International de Lourdes), dans sa séance du 19 novembre 2011 à Paris, d’après le rapport du Professeur Fausto Santeusanio, par vote secret  avec plus des deux tiers des voix, a certifié que le mode de cette guérison reste inexpliqué dans l’état actuel des connaissances scientifiques.

La guérison de Sœur T. née le 22 août 1934   
Date de la guérison : le 23 juillet 1965 – Déclaration de la guérison : juillet 1965
Sœur T. a mené une vie complètement normale, sans aucun problème et en bonne santé jusqu’en 1960, quand elle a ressenti une douleur intense dans la jambe gauche et en 1961, à l’Institut orthopédique G. P. de M., on a diagnostiqué les prémisses d’une lombosciatique gauche paralysante. Les symptômes persistent. En 1962, elle est à nouveau hospitalisée afin de lui placer un corset  plâtré. Les symptômes s’aggravent jusqu’en 1963. Elle est alorsadmise à l’hôpital civil de T. où elle commence un traitement intra-thécal, à base de cortisone. Pas d’amélioration. Lasègue: positif. Finalement, elle a subi une hémi-laminectomie L4-L5 par voie extradurale d’une hernie discale. Pas de rémission des     symptômes douloureux. Plusieurs interventions chirurgicales sur la colonne vertébrale n’améliorent ni les fonctions orthopédiques et neurochirurgicales ni l’état clinique. Son état clinique oblige la patiente à rester alitée pendant la plus grande partie de la journée en position antalgique. Au contrôle clinique du 30 juin 1965, on note : «Patiente en souffrance : pâle, tension basse, cicatrice chirurgicale fraiche et sèche avec douleurs au  toucher, signe de Delitala positif. Raideur et contraction du trait lombosacré de la colonne vertébrale. Mobilité du pied réduite par paresthésie du muscle tibial antérieur, extenseur du gros orteil, extenseur commun des orteils, diminution de force du tricep sural et du tibial postérieur. Péroné inerte. Position fœtale obligatoire».
Elle demande alors à sa Mère supérieure l’autorisation d’aller à Lourdes en pèlerinage. Elle part en juillet 1965 (du 20 au 26). Elle participe à toutes les célébrations en brancard, car elle ne peut pas se tenir droite.  Sœur T. pendant la célébration de l’Eucharistie, au passage du Très Saint Sacrement, a ressenti une forte sensation de chaleur et de bien être avec l’envie de se lever et soudainement la reprise de la mobilité du pied et la disparition de la douleur.
Deuxième visite au Bureau des constatations médicales du sanctuaire de Lourdes le 28 juillet 1966 et première réunion du Bureau des constatations médicales le 28 juillet 1966 (décision d’ouvrir un dossier).
Deuxième réunion du Bureau des constatations médicales le 31 juillet 1984.
Troisième réunion du Bureau des constatations médicales le 28 juillet 2010 (convoqué pour la présentation de nouveaux scanners, IRM rachis lombo-sacré 22.02.2010, scanner lombo-sacré 29.10.2009). Le Bureau des constatations médicales a confirmé la guérison par un vote formel et unanime.

Le CMIL (Comité Médical International de Lourdes), dans sa séance du 19 novembre 2011 à Paris, d’après le rapport du Professeur Franco Balzaretti (qui avait obtenu en octobre 2010, en complément de dossier, un électromyogramme ainsi que des expertises neurologiques, neurochirurgicales et orthopédiques et un examen  collégiale, le 30 avril 2011, avec lui même et des spécialistes chirurgiens et un médecin spécialiste en rhumatologie) par vote secret, avec plus des deux tiers des voix, a certifié que le mode de cette guérison reste inexpliqué dans l’état actuel des connaissances scientifiques.

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