250 couples ont renouvelé le sacrement de leur mariage
Saint-Valentin : Hier dimanche, 250 couples ont renouvelé le sacrement de leur mariage au sanctuaire N-D de Lourdes
C’était la première opération de la Saint-Valentin organisée au sanctuaire de Lourdes, dans les Hautes-Pyrénées. Ils étaient au moins 250 couples dimanche venus renouveler le sacrement de leur mariage et prier dans le cadre de l’année de la Miséricorde.
L’idée était d’accueillir tous les couples, mariés ou non, homosexuels ou hétérosexuels, divorcés remariés. La fréquentation a dépassé le nombre d’inscrits en ligne (une centaine, dont aucun couple homosexuel).
« En ce temps de carême, le Seigneur nous appelle tous à la conversion, à changer nos vies, à la fidélité à l’Evangile : c’est ce que nous voulons méditer ce dimanche sous la protection de Notre-Dame », a affirmé Mgr Nicolas Brouwet, évêque de Tarbes et Lourdes.
« Les couples qui ne sont pas mariés sacramentellement ont profité des enseignements, de la veillée, des temps aménagés pour les couples, a-t-il également déclaré. Nous avons prié ensemble. Cela n’a rien de nouveau. »
Environ 500 personnes ont en effet également participé à la veillée de prière pour les couples, à la basilique Notre-Dame du Rosaire, en présence des reliques des saints époux Louis et Zélie Martin, parents de Sainte-Thérèse de Lisieux, canonisés en 2015 lors du synode de la famille pour l’exemplarité de leur vie de couple. La Basilique Sainte-Thérèse de Lisieux, dans le Calvados, avait prêté exceptionnellement ces reliques pour la Saint-Valentin.
Cette démarche d’ouverture, sur les divorcés remariés notamment, s’inscrit dans le cadre de la politique du pape François. En clôture du synode sur la famille, fin octobre, le souverain pontife avait demandé d’accueillir ceux qui sont « tenus en marge ».
« Si une personne est gay et cherche le Seigneur avec bonne volonté, qui suis-je pour la juger ? », avait par ailleurs déclaré le pape deux ans plus tôt.
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