Effervescence à la gare
Lourdes. Effervescence à la gare autour des 3.700 pèlerins
Le pèlerinage national est un moment fort de la saison. Ce 139e est animé par la famille de l’Assomption. Les pèlerins y viennent en train et en bus. Une vraie aventure.
Une véritable aventure, en effet, pour les pèlerins du 15 août. Souvent, on ne réduit ce pèlerinage qu’à leur présence ce seul jour, or, la fête du partage, des rencontres, des prières dure en réalité quatre jours. Dans la plus grande joie. Et c’est une sacrée organisation. À tous les étages. Parce qu’ils sont 3.700 pèlerins à venir en train et presque le double en bus de toutes les régions de France pour atteindre Lourdes. Ce samedi soir, pour être frais et dispos le lendemain matin à l’accueil des pèlerins, 7 trains se sont succédé entre 18 et 21 heures sous l’œil vigilant du responsable des transports Arnaud Legrez. «Les accords signés avec la SNCF ont été dénoncés unilatéralement par ces derniers en 2010. Nous avons vécu les pires difficultés en matière de transports en 2 011. Ce printemps, de nouveaux accords ont été signés pour effet en 2013 et, cette année, alors qu’on craignait le pire, la SNCF nous a livré les trains à J-30, avec comme surprise, à quelques minutes de leur arrivée, de les attendre à l’heure voire à l’avance !» Un soulagement pour ce directeur, car, à l’intérieur près de 850 malades et handicapés voyagent.
Seulement 850 malades, chiffre en baisse en raison «des nombreuses perturbations sur le réseau SNCF, les voitures ambulances qui ne sont ni confortables ni climatisées, des directeurs diocésains fatigués et des pèlerins démotivés surtout lorsqu’ils ont vécu de très très longs voyages (19 heures contre 7 heures pour rejoindre Strasbourg). Le retour est prévu jeudi à partir de midi.
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